Dans Au bout de la corde, la vie, la mort, Stefan Cieslar nous livre des nouvelles inspirées de sa vie d'homme et de son expérience d'alpiniste et de guide.
Avec humour et gravité, il nous embarque sur les parois de l'Olan dans le massif des Écrins, dans l'Innominata au mont Blanc, au Chili, en Argentine, dans les Tatras polonais, dans les Calanques. Les personnages du passé et du présent font partie du voyage car la solitude du grimpeur voisine souvent avec amitiés, amour ou simples rencontres le temps d'une course. Il est toujours question de rêve, de liberté, de choix et bien sûr de vie et de mort.
La montagne pour fuir la platitude du quotidien ? pour construire ses rêves ? par déception ? pour exister ? Cette relation complexe à la montagne est exprimée en toute sincérité dans ces douze textes laissés par Stefan qui a disparu avec ses trois compagnons dans une avalanche en Himalaya en 2006.