Utopie ou réalisme, archaïsme ou grand dessein novateur ?
L’écologie s’est imposée comme un problème de civilisation et un enjeu politique capital.
L’auteur d’Homo Aestheticus nous entraîne dans une passionnante exploration des origines philosophiques et historiques de l’écologie.
Elle peut être une science indispensable à l’homme, mais dérive parfois vers des idéologies redoutables, qui plongent leurs racines les plus profondes dans cet idéal de pureté qui anima les grandes législations nazies(1933-1935) sur la protection de la nature et des animaux.
Cette réflexion, riche en surprises, couronnée par le prix Médicis de l’essai, ne plaide pas contre une éthique de l’environnement, mais bien pour son alliance avec la démocratie.