La conscience humaine fait partie des derniers mystères encore non résolus. Le Moi n'est-il déterminé que par la biochimie ? N'est-il que l'interface de notre cerveau, une sorte de scène de théâtre sur laquelle se joue une pièce que nous ne maîtrisons pas ? C'est ce que prétend le neurocentrisme. Cette doctrine issue des neurosciences part de l'hypothèse que le Moi est identique au cerveau.
Markus Gabriel émet des doutes. Face à cette thèse, il défend le libre arbitre et nous livre un propos philosophique moderne sur notre conscience. Avec verve et humour, il attaque le monopole des sciences dures et nous invite à un questionnement intérieur – à travers Kant, Schopenhauer, Sartre, Nagel, mais aussi Dr Who, The Walking Dead et Fargo.
Une critique virulente et drôle du « neurocentrisme ». Juliette Cerf, Télérama.
Une défense tous azimuts de la liberté et du libre arbitre. Robert Maggiori, Libération.
Traduit de l’allemand par Georges Sturm avec la collaboration de Sibylle M. Sturm.