Révélé aux États-Unis comme l'un des jeunes espoirs de la littérature, Tom Bissell appartient à cette nouvelle génération d'écrivains américains qui ne connaissent pas de frontières. Du chaos afghan à la mer d'Aral en passant par le Kazakhstan et l'Asie centrale, ses nouvelles nous entraînent hors des sentiers battus et des certitudes rassurantes. On y croise, au fil de paysages dévastés ou désolés, des Occidentaux en mal de repères. Et si l'exil, l'abandon et la guerre constituent la toile de fond de ce livre étonnant, ils reflètent avec une infinie sensibilité le paysage intérieur d'êtres déchirés, en quête de nouveaux horizons.
« Il n'y a pas en Amérique, aujourd'hui, de jeune écrivain plus doué et plus passionnant.»Dave Eggers.
« Tom Bissel n'est pas seulement un écrivain doué, il est également l'observateur mordant d'une nouvelle génération perdue dans un monde complexe et dangereux. »The New York Times.
« Dans ce monde à la dérive, sans pitié, Bissell n'épargne rien ni personne. Cet écrivain-là ira loin. »Bruno Corty, Le Figaro Littéraire.
« Tom Bissell : un mémorialiste à la limite du documentaire et du fantastique, un écrivain des grands espaces doublé d'un psychologue des profondeurs. »Éric Phalippou, La Quinzaine littéraire.
« Des textes sombres et forts, aux personnages écorchés qui cassent bien des clichés sur les relations Est-Ouest d'aujourd'hui. »Technikart.
« On va beaucoup parler, dans les années qui viennent, de Tom Bissell... »Didier Jacob, Le Nouvel Observateur.
« D'une plume précise et un rien sadique, avec un réalisme tranchant, Tom Bissell, en plus de nous offrir un grand moment de littérature, pose une question tabou mais essentielle : celle de la légitiité de l'intervention systématique des États-Unis dans la marche du monde. »Valérie Gans McGarry, Madame Figaro.
« Toutes les nouvelles de Tom Bissell sont bonnes à dire. Et à lire. »Frédérique Brehaut, Le Courrier de l'Ouest.