Le Parménide était regardé dans l'école d'Athènes (Syrianus, Plutarque, Proclus) comme le sommet de l'enseignement platonicien dans le domaine des premiers principes ; c’est donc dans ses commentaires qu’il faut chercher l’expression la plus achevée de la pensée métaphysique néo-platonicienne.
Avec ce volume s’achève l’édition du Commentaire du Parménide de Platon de Damascius. Le texte dû à la science de L.G. Westerink marque un progrès considérable sur l’unique édition précédente, tandis que la traduction et les notes s’efforcent de résoudre les difficultés d’un texte qui en est littéralement hérissé. Le quatrième volume est pourvu de riches indices.