Résumé des livres :
LIVRE V
Introduction à l'examen de problèmes casuistiques ; libéralité d'Aebutius.
Est-il honteux d'être vaincu dans un échange de bienfaits ?
Peut-on être son propre bienfaiteur ?
Sur deux paradoxes stoïciens : que nul n’est ingrat, que tout le monde l’est.
De la reconnaissance due aux bienfaits qui nous atteignent indirectement.
Du bien qu’on nous fait malgré nous.
Dans quelle mesure on peut rappeler à l’obligé sa dette de reconnaissance.
LIVRE VI
Introduction à l’étude de quelques autres problèmes de casuistique.
Un bienfait peut-il être retiré ?
Les bienfaits involontaires n’obligent point.
Les services intéressés ; dans quelle mesure ils sont des bienfaits.
Des bienfaits collectifs : dans quelle mesure ils obligent qui les reçoit.
Il ne faut pas souhaiter du mal à son bienfaiteur pour avoir l’occasion de se montrer reconnaissant.
LIVRE VII
Introduction au livre des « glanures ». De la sagesse, opposée aux études stériles et aux ambitions des hommes.
Peut-on donner au sage, si tout lui appartient ? à l’ami si tout est commun aux amis ?
La bonne intention suffit-elle comme marque de reconnaissance ?
Est-on tenu envers un bienfaiteur, qui de sage est devenu méchant ?
L’ «oubli » du bienfait, prescrit au bienfaiteur, est une formule surtout théorique.
Conclusion : attitude à garder envers les ingrats.