Résumé des traités :
CONSOLATION À APPOLONIOS
Préambule : le moment propice à une consolation
Ni insensibilité, ni excès dans la douleur
Dans le malheur se comporter virilement
Inconstance
Obéir à la raison et se préparer aux vicissitudes de l'existence
La mort n’est pas un mal, le cycle du devenir
La sagesse socratique, la mort n’est peut-être qu’un sommeil
La mort nous délivre de l’esclavage du corps
La mort est la récompense de la piété
La mort délivre de toutes les peines
La mort prématurée
La plus belle vie n’est pas la vie la plus longue
Soumission aux dieux
S’affliger est égoïste
Les pleurs ne peuvent pas être éternels
Se préparer à l’infortune
Les excès dans le deuil sont indignes d’un grec
La mort prématurée n’a rien d’affligeant
La vraie façon d’honorer les morts
Un deuil éternel n’est pas raisonnable
La mort est préférable à la vie
La vie nous est seulement prêtée
Les leçons de la sagesse delphique
Attitude insensée de ceux qui gémissent, méfaits des poètes
La vie est brève, il faut l’utiliser à autre chose qu’à gémir
Exemples de constance dans le malheur
Éloge du défunt
Le défunt est entré dans le bonheur éternel
Mythe platonicien du « Gorgias » sur la vie future
Épilogue
PRÉCEPTES DE SANTÉ
Préambule : médecine et philosophie
Premier conseil : maintenir chaude les extrémités
Second conseil : s’habituer au régime alimentaire des malades
Précepte essentiel : la mesure
Savoir refuser
Ne pas manger sans faim ni boire sans soif
N’accorder au corps que des plaisirs naturels
Le plaisir même a besoin de la santé
Il ne faut pas attendre d’être malade pour être tempérant
L’excès favorise la maladie
Tenir compte des symptômes
Le plaisir que procure la nourriture dépend de notre santé
Contre un régime trop rigoureux
Observer tous les signes prémonitoires
Leçons à tirer de nos amis malades
Exercices recommandés aux intellectuels
Préférer les bains chauds aux bains froids
Préceptes concernant la nourriture
Préceptes concernant la boisson
Nobles moyens des intellectuels pour dominer leurs appétits
Occupations appropriées après le repas
Éviter vomitifs et purgatifs
Pas d’abstinences strictes et à dates fixes
Ni oisiveté ni surmenage
Ménager le corps sans passer d’un extrême à l’autre
Il faut se connaitre et savoir régler soi-même son régime
Nécessité de l’harmonie de l’âme et du corps
PRÉCEPTES DE MARIAGE
Plutarque à Pollianos et à Eurycide
Dédicace et prélude
Le coin, symbole du charme de la jeune épouse
L’asperge symbole de l’intimité
Éviter les premiers heurts
La flamme de la passion doit pénétrer jusqu’à l’âme
Ne pas se contenter de la volupté
La femme ne doit pas rendre l’homme insensé pour le dominer
Pasiphaé, symbole de la luxure
Le mari ne doit pas non plus abaisser sa femme
La femme ne doit être visible qu’en présence de son mari
La pudeur, gage de l’amour
L’harmonie dans le couple
Persuader par la douceur
Ne pas se quereller devant autrui
La femme doit accorder son humeur à celle de son mari
L’homme, lui doit associer sa femme à ses plaisirs honnêtes
L’homme ne doit pas associer sa femme à ses excès
Le mari inspire ses propres penchants à sa femme
Reserve de la femme dans les rapports conjugaux
La femme ne doit avoir que les amis et les dieux de son mari
Tout doit être commun aux époux
Les amours chastes apportent le bonheur, les autres le malheur
Les petits désaccords continuels ruinent la vie commune
Les qualités morales, jointes aux autres avantages, rendent la femme invincible
Sans les qualités morales, les avantages matériels ne sont rien
La vertu a plus de prix que la beauté
La dignité, vraie parure de la femme
La dignité doit rester aimable
L’excès de gravité vaut toutefois mieux que l’excès de hardiesse
Privée de bijoux, la femme préfère rester chez elle
La femme doit cacher ses paroles comme son corps
La femme ne doit se montrer et parler qu’avec son mari
L’homme doit commander, mais avec tendresse
La véritable union est une fusion totale
La femme ne doit pas nuire à l’affection du mari pour sa mère
La femme doit s’attirer l’affection de ses beaux-parents
La femme doit calmer avec douceur les colères du mari
Le lit conjugal, terrain de réconciliation
Le lit conjugal pour ignorer les querelles
La femme ne doit pas écouter les méchants propos
La femme ne doit pas songer à se séparer de son mari
Il ne faut pas souiller le mariage, fécondation sacrée
L’homme doit faire régner l’harmonie
Le mari ne doit pas exciter la jalousie de sa femme
La femme, elle, doit éviter se qui irrite son mari
La femme légitime doit briller par ses vertus
Le mari doit avoir le plus grand respect pour sa femme
Péroraison : Mari et femme doivent s’abstenir d’un luxe excessif
Le mari doit se cultiver et instruire sa femme
La vertu, suprême parure de la femme, lui apporte aussi la gloire et le bonheur
LE BANQUET DES SEPTS SAGES
Prologue
En route pour le banquet
L’arrivée chez Périandre
Le banquet
Propos sur le gouvernement des États
Le gouvernement domestique
Le gouvernement de l’univers : la Providence divine
Conclusion
DE LA SUPERSTITION
Sources de l’athéisme et de la superstition
La superstition ajoute la crainte à l’erreur
La crainte des dieux harcèle l’homme, même dans le sommeil
Pas de refuge pour le superstitieux, même dans la mort
Mieux vaut être athée que superstitieux, aveugle que fou
La superstition transforme le bien en mal
Comportements différents de l’athée et du superstitieux
Le superstitieux ne fait qu’aggraver ses maux
Dans la joie également, le superstitieux est malheureux
La superstition plus impie que l’athéisme
Le superstitieux, ennemi des dieux est un athée qui n’ose pas l’être
La superstition favorise l’athéisme
Rien n’est pire qu’une religion monstrueuse
Il faut rejeter la superstition, non pour l’athéisme mais pour la piété