Œuvres morales. Tome II : Traités 10-14, Consolation à Apollonios - Préceptes de santé - Préceptes de mariage - Le Banquet des s (9782251003726-front-cover) Œuvres morales. Tome II : Traités 10-14, Consolation à Apollonios - Préceptes de santé - Préceptes de mariage - Le Banquet des s (9782251003726-front-cover)

Œuvres morales. Tome II : Traités 10-14, Consolation à Apollonios - Préceptes de santé - Préceptes de mariage - Le Banquet des s

Référence: 9782251003726

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Résumé des traités :

CONSOLATION À APPOLONIOS

Préambule : le moment propice à une consolation

Ni insensibilité, ni excès dans la douleur

Dans le malheur se comporter virilement

Inconstance

Obéir à la raison et se préparer aux vicissitudes de l'existence

La mort n’est pas un mal, le cycle du devenir

La sagesse socratique, la mort n’est peut-être qu’un sommeil

La mort nous délivre de l’esclavage du corps

La mort est la récompense de la piété

La mort délivre de toutes les peines

La mort prématurée

La plus belle vie n’est pas la vie la plus longue

Soumission aux dieux

S’affliger est égoïste

Les pleurs ne peuvent pas être éternels

Se préparer à l’infortune

Les excès dans le deuil sont indignes d’un grec

La mort prématurée n’a rien d’affligeant

La vraie façon d’honorer les morts

Un deuil éternel n’est pas raisonnable

La mort est préférable à la vie

La vie nous est seulement prêtée

Les leçons de la sagesse delphique

Attitude insensée de ceux qui gémissent, méfaits des poètes

La vie est brève, il faut l’utiliser à autre chose qu’à gémir

Exemples de constance dans le malheur

Éloge du défunt

Le défunt est entré dans le bonheur éternel

Mythe platonicien du « Gorgias » sur la vie future

Épilogue

PRÉCEPTES DE SANTÉ

Préambule : médecine et philosophie

Premier conseil : maintenir chaude les extrémités

Second conseil : s’habituer au régime alimentaire des malades

Précepte essentiel : la mesure

Savoir refuser

Ne pas manger sans faim ni boire sans soif

N’accorder au corps que des plaisirs naturels

Le plaisir même a besoin de la santé

Il ne faut pas attendre d’être malade pour être tempérant

L’excès favorise la maladie

Tenir compte des symptômes

Le plaisir que procure la nourriture dépend de notre santé

Contre un régime trop rigoureux

Observer tous les signes prémonitoires

Leçons à tirer de nos amis malades

Exercices recommandés aux intellectuels

Préférer les bains chauds aux bains froids

Préceptes concernant la nourriture

Préceptes concernant la boisson

Nobles moyens des intellectuels pour dominer leurs appétits

Occupations appropriées après le repas

Éviter vomitifs et purgatifs

Pas d’abstinences strictes et à dates fixes

Ni oisiveté ni surmenage

Ménager le corps sans passer d’un extrême à l’autre

Il faut se connaitre et savoir régler soi-même son régime

Nécessité de l’harmonie de l’âme et du corps

PRÉCEPTES DE MARIAGE

Plutarque à Pollianos et à Eurycide

Dédicace et prélude

Le coin, symbole du charme de la jeune épouse

L’asperge symbole de l’intimité

Éviter les premiers heurts

La flamme de la passion doit pénétrer jusqu’à l’âme

Ne pas se contenter de la volupté

La femme ne doit pas rendre l’homme insensé pour le dominer

Pasiphaé, symbole de la luxure

Le mari ne doit pas non plus abaisser sa femme

La femme ne doit être visible qu’en présence de son mari

La pudeur, gage de l’amour

L’harmonie dans le couple

Persuader par la douceur

Ne pas se quereller devant autrui

La femme doit accorder son humeur à celle de son mari

L’homme, lui doit associer sa femme à ses plaisirs honnêtes

L’homme ne doit pas associer sa femme à ses excès

Le mari inspire ses propres penchants à sa femme

Reserve de la femme dans les rapports conjugaux

La femme ne doit avoir que les amis et les dieux de son mari

Tout doit être commun aux époux

Les amours chastes apportent le bonheur, les autres le malheur

Les petits désaccords continuels ruinent la vie commune

Les qualités morales, jointes aux autres avantages, rendent la femme invincible

Sans les qualités morales, les avantages matériels ne sont rien

La vertu a plus de prix que la beauté

La dignité, vraie parure de la femme

La dignité doit rester aimable

L’excès de gravité vaut toutefois mieux que l’excès de hardiesse

Privée de bijoux, la femme préfère rester chez elle

La femme doit cacher ses paroles comme son corps

La femme ne doit se montrer et parler qu’avec son mari

L’homme doit commander, mais avec tendresse

La véritable union est une fusion totale

La femme ne doit pas nuire à l’affection du mari pour sa mère

La femme doit s’attirer l’affection de ses beaux-parents

La femme doit calmer avec douceur les colères du mari

Le lit conjugal, terrain de réconciliation

Le lit conjugal pour ignorer les querelles

La femme ne doit pas écouter les méchants propos

La femme ne doit pas songer à se séparer de son mari

Il ne faut pas souiller le mariage, fécondation sacrée

L’homme doit faire régner l’harmonie

Le mari ne doit pas exciter la jalousie de sa femme

La femme, elle, doit éviter se qui irrite son mari

La femme légitime doit briller par ses vertus

Le mari doit avoir le plus grand respect pour sa femme

Péroraison : Mari et femme doivent s’abstenir d’un luxe excessif

Le mari doit se cultiver et instruire sa femme

La vertu, suprême parure de la femme, lui apporte aussi la gloire et le bonheur

LE BANQUET DES SEPTS SAGES

Prologue

En route pour le banquet

L’arrivée chez Périandre

Le banquet

Propos sur le gouvernement des États

Le gouvernement domestique

Le gouvernement de l’univers : la Providence divine

Conclusion

DE LA SUPERSTITION

Sources de l’athéisme et de la superstition

La superstition ajoute la crainte à l’erreur

La crainte des dieux harcèle l’homme, même dans le sommeil

Pas de refuge pour le superstitieux, même dans la mort

Mieux vaut être athée que superstitieux, aveugle que fou

La superstition transforme le bien en mal

Comportements différents de l’athée et du superstitieux

Le superstitieux ne fait qu’aggraver ses maux

Dans la joie également, le superstitieux est malheureux

La superstition plus impie que l’athéisme

Le superstitieux, ennemi des dieux est un athée qui n’ose pas l’être

La superstition favorise l’athéisme

Rien n’est pire qu’une religion monstrueuse

Il faut rejeter la superstition, non pour l’athéisme mais pour la piété

 

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Détails du produit

9782251003726

Fiche technique

ISBN
9782251003726
Date parution
01/01/1985
Dimensions
12.5 cm x 19.2 cm x 3 cm
De (auteur)
Plutarque
Editeur
BELLES LETTRES
Editions du patrimoine - CMN
Edité et traduit par
Jean Defradas
Jean Hani
Robert Klaerr
Nbre de pages
546
Format
Livre broché / livre de poche broché
Collection
Collection des universités de France Série grecque

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