Un recueil original et subtil par le fondateur du groupe Gong !Didier Malherbe a écrit son premier sonnet à 17 ans. Une forme qu'il n'a plus abandonnée depuis, la considérant comme un microcosme. Pour cet homme de l'oral, ce musicien multi-instrumentiste, le sonnet se rapproche de la toupie, parce qu'il ne tient que sur son dernier vers, sa pointe.
Mais pourquoi la " facilie " ? Didier Malherbe voulait revenir sur l'ambiguïté du terme, à la fois péjoratif et laudatif. C'est cette ambivalence des sens qui est scrutée au long de ses quelques 120 sonnets, traversés par l'ombre des " grands " tels que Baudelaire, Sainte-Beuve, Voltaire...