Balzac a dit : 
«  Je suis assis sur une mine d’or, la connerie humaine ! »
 
Cette phrase, je la fais mienne et préfère me répéter que me contredire.
Il n’y a rien de personnel, ni de freudien (hélas !) dans mes textes.
 
Je raconte des histoires de personnes ordinaires,
j’édulcore ou exagère à outrance par mon imaginaire.
 
Je ne suis qu’un scribe
qui retranscrit, déchiffre, décrypte des vies…
des actes de solitude et de verdure fantasmagorique…
 
C’est tout !
 
G†Z
*
 
Georges Zérillo a connu ce que l’on appelle « une enfance difficile ». Peu à manger, rien à lire, et une fragilité peu apte à affronter la cruauté des autres. Les difficultés se sont additionnées pour empêcher le jeune Georges d’apprendre et de s’épanouir.
Quand il sort de l’école primaire, il ne sait ni lire ni écrire. Mais ses efforts paieront, sa persévérance le sauvera : adolescent, il découvre et comprend enfin ce qu’est la littérature.
Les livres lui offrent les plus belles rencontres de sa vie, et lui donnent le courage de devenir adulte.