Dans sa poésie, gonflée de sève et d'images, comme dans ses romans, Le Bois Castiau, Les Loups de Malenfance, Luc Bérimont est resté fidèle à la source toujours neuve de l'enfance et à sa grande capacité d'émerveillement.
Ce premier volume de ses poésies complètes reprend ses recueils les plus significatifs de 1940 à 1958 : La Huche à pain (1943) ; Sur la terre qui est au ciel (1947) ; Bris de clôture (1948) ; Les amants de pleine terre (1949) ; Les mots ferment la nuit (1951) ; Le Lait d'homme (1952) ; Le Grand Viager (1954) ; L'Herbe à tonnerre (1958).