Le 6 mai 2012, le 1 % des Français les plus riches a perdu son VRP et la foule, place de la Bastille, a davantage fêté le licenciement politique de Nicolas Sarkozy que la victoire de François Hollande.
Mais sous les urnes il y a la vase. 48,5 % des Français ont voté pour un candidat qui a fait une campagne xénophobe, raciste et " islamophobe ", violant ainsi, pour la plupart, un interdit moral et ouvrant la voie au Front national.
On a voté... et puis après ? La crise prospère à l'instar des banquiers, les plans de licenciement et les délocalisations sortent des tiroirs. Il faut bien faire monter la Bourse !
Olivier Besancenot invite à une prise de conscience, à la reprise des luttes sociales. Même sous un gouvernement de " gauche ", rien ne sera donné. Tout est à reprendre.