Norilsk, nord de la Sibérie. La ville la plus peuplée de cette région du globe. L’une des plus polluées de la planète. Un ancien goulag où les bâtiments soviétiques s’effondrent. On ne peut s’y rendre qu’avec l’autorisation du FSB – le KGB d’aujourd’hui. Une énorme mine de nickel, tenue par des oligarques. Une population majoritairement constituée de mineurs. Espérance de vie lamentable. Deux mois par an de nuit totale. Un froid qui, l’hiver, peut atteindre – 60° C.
Pas d’animaux, pas d’arbres, rien.
En résumé, la ville la plus pourrie au monde.
Pour affronter cet enfer, Caryl Férey avait sa botte secrète : La Bête.
Une plongée sombre mais attachante dans un décor à la Blade Runner version sibérienne. Les Échos.
Un voyage extrême, une parenthèse tendre et violente à la fois. Ouest France.
À lire le sourire aux lèvres, sans se prendre au sérieux. L’Express.