Trois moments pour dérouler le temps et arpenter la mémoire : une femme nous emmène dans la maison d’une grand-mère, vers les sentiers au fond du jardin et là où tout se trouble. La marche et l’errance urbaine y réveillent le souvenir et dessinent un nouveau territoire à parcourir.
Texte de passage, de prise de conscience, de renoncement à un temps idéal qui passe par le deuil – pas seulement des proches, mais d’une idée du monde, d’une liberté de rêver. Une écriture puissante, à vif, qui nous entraîne là où le quotidien devient poésie, là où le souvenir tisse sa trame.