« Quelle farce ! Ben quoi ? Un meurtre, c'est bien une farce, non ? Cette maison, d'abord, c'est cette maison qui est une vaste farce ! Est-ce qu'on peut vraiment avoir l'air sérieux ici ? Je croyais que c'était un lupanar, mais tu parles ! C'est pire que ça ! »
Un écrivain à la mode est assassiné dans la vaste demeure d'un homme politique puissant et fortuné. Ainsi commence Meurtres sans série, roman policier farcesque et décalé, écrit en 1947, dans l'effervescence de l'après-guerre. L'œuvre se développe sur fond de sexe, d'argent... et de littérature.