Lorsque, à la suite d’une blessure, le commissaire Cecè Collura se trouve en congé forcé, il accepte, en guise de convalescence, un poste de commissaire de bord sur un navire de croisière. Mais veiller au bien-être des passagers devient vite secondaire pour ce digne collègue de Montalbano qui n’a pas laissé son flair au vestiaire. Dans le huis clos de la croisière, petits et grands mys-tères vont s’enchaîner. Etrange disparition d’un bébé, manœuvres d’héritier sans scrupules, incartades conjugales, perte de bijoux, identités camouflées, Cecè démêle le jeu des apparences et de la réalité. Du moins, autant que faire se peut…
Publiées au cours de l’été 1998 dans le quotidien La Stampa, ces huit nouvelles sont autant de clins d’œil à Agatha Christie où l’on retrouve le ton humoristique et enlevé propre à l’écrivain sicilien.
Traduit de l’italien
par Dominique Vittoz