« Le bonheur, pour le jeune Gimpei, c’était de suivre le chemin qui longe la rive, leurs deux silhouettes confondues reflétées dans le lac. Il marchait, regardait l’eau, et songeait que les deux reflets iraient jusqu’au bout du monde, embrassés pour l’éternité. Mais il fut bref, ce bonheur-là. »