2035. Station VDNKh. Artyom est retourné y vivre. C’est un héros brisé, obsédé par l’idée que c’est à la surface qu’est le salut de l’humanité. Les Noirs anéantis, un souvenir le taraude, celui de la voix qu’il a entendue sur une radio militaire, deux ans plus tôt, quand il était au sommet de la tour Ostankino avec les stalkers. Aussi, depuis son retour, il remonte quotidiennement à la surface et escalade des gratte-ciel en ruines pour tenter d’entrer en contact avec des survivants. Tenu pour fou, Artyom sombre peu à peu. Mais l’arrivée d’Homère bouleverse la situation : le vieil homme prétend en effet que des contacts radio ont déjà été établis avec d’autres enclaves.
Ce nouvel et dernier opus de la saga traduite en plus de trente langues et adaptée en jeux vidéo est le point de convergence de toutes les trames narratives mises en place par l’auteur.
Avec Métro 2035, Dmitry Glukhovsky nous offre une nouvelle dimension épique, renouvelant avec succès son univers. Bifrost.
Traduit du russe par Denis E. Savine.