Chers lecteurs,
Je vais bientôt me quitter. Oui, disparaître de cette planète. Et il m’est venu à l’idée de rassembler moult pensées, citations, engrangées tout au long de mon existence, et de vous les léguer, dans l’espoir que pour vous aussi, elles seront source de réflexions, méditations, voire matière à rire et à pleurer.
Chers lecteurs, chers obaldiens, à vous, selon vos affinités, vos humeurs, de vous approprier une perle rare.
Je vais maintenant prendre congé de vous non sans vous gratifier d’un proverbe bantou : « Mon ami n’est pas mort puisque je vis encore. »
René de Obaldia