Jean Rezeau a beau être maintenant éloigné de sa mère, la terrible Folcoche, sa tyrannie le poursuit.
Des années de haine ne l’ont pas préparé à l’amour et il faudra qu’il fasse son apprentissage. A travers différentes expériences, Jean s’y appliquera et, peu à peu, il découvrira le bonheur.
La cruauté de l’analyse, le cynisme émouvant du héros et l’acidité du style font du roman d’Hervé Bazin un des meilleurs réquisitoires contre un certain type d’oppression familiale.