Roman bouleversant, plus que bouleversant de bout en bout… que plus jamais vous n’oublierez.
Françoise Xénakis, Le Matin.
On ne peut s’en arracher… On court à la fin au bord de l’angine de poitrine. Vraiment, c’est un très grand livre.
Jean Clémentin, Le Canard enchaîné.
Si vous ne devez lire qu’un livre pendant toute cette année, pas d’hésitation, c’est celui-là.
Thérèse Hamel, Marie-France.
Dès maintenant, nous pouvons considérer son second livre comme la première pierre de la grande œuvre romanesque et épique que nous attendons depuis quarante ans.
Jean Mistler, Le Journal du Dimanche.
Inoubliable. Henri Coulonges a raison : il n’y a rien de plus beau qu’un beau roman.
Pierre Rosset, Elle.
L’Adieu à la femme sauvagea obtenu le Grand Prix du Roman de l’Académie française.