L'année qui court de l'été 2009 à l'été 2010 consacre la dégringolade de Nicolas Ier dans l'opinion. Les événements ne se succèdent plus pour s'effacer mais ils se chevauchent et restent en mémoire. De la cruelle estocade portée au duc de Villepin, en passant par les déboires du Prince Jean à l'Epad, ce ne sont que mensonges, rumeurs, coups de force et raclée électorale, jusqu'au feu d'artifice de l'affaire Woerth-Bettencourt que seules les vacances interrompent. P. R.
On est ébahi par ce « bouffonnant » théâtre qui, sous la roulette de notre « Nicolas-de-bouillon », revit sous nos yeux mois après mois. André Rollin, Le Canard enchaîné.
Style tout à la fois précieux, sarcastique, raffiné, insolent, cruel, d’une magnifique liberté. Rambaud se permet des folâtreries que le duc de Saint-Simon aurait réprouvées avec indignation. Philippe Alexandre, Lire.