« Je marchais au gré des rues. Je me dis que j'avais cru faire du journalisme, que j'avais cru aimer quelqu'un, mais non, j'avais marché dans un paysage de fantômes. J'étais venu à Rome, j'avais croisé de belles femmes, je m'étais gorgé d'histoires imaginaires à propos de chaque visage, j'avais écouté des conversations dans les cafés et les magasins. Je n'avais rien compris. »
Avec sensualité et mélancolie, Jacques-Pierre Amette nous invite dans une Rome de fantasmes et de rêveries, pour évoquer le temps qui passe et les relations inabouties.
Un magnifique chant à la ville, Rome, et à l'amour.