De 1910 à 2010 et de Prague à Alger en passant par Paris. La traversée du siècle de Joseph Kaplan, médecin juif pragois. De la Bohème et ses guinguettes où l'on croisait des filles qui dansaient divinement le tango en fumant des Bastos, à l'exil dans le djebel, de la peste d'Alger aux désillusions du communisme, voici la vie d'un héros malgré lui, pris dans les tourmentes de l'Histoire. Une vie d'amours et de grandes amitiés, une vie d'espoirs et de rencontres, jusqu'à celle, un jour de 1966, d'un certain Ernesto G., guerrier magnifique et terrassé, échoué au fin fond de la campagne tchèque après sa déroute africaine.
On retrouve ici toute la puissance romanesque de Jean-Michel Guenassia qui, après Le Club des incorrigibles optimistes, nous entraine dans la délicate nostalgie des hommes ballottés par l'Histoire, les hommes qui tombent et qui font de cette chute même et de leur désenchantement une oeuvre d'art.
La presse
« Renouant avec le souffle éminemment romanesque du Club des incorrigibles optimistes, J.M. Guenassia évoque une vie d'amours et de grandes amitiés, d'espoirs et de rencontres. »Lire
« Tout aussi emballant que Le Club des incorrigibles optimistes. Un vrai roman romanesque, parfaitement mené et balancé, qu'on ne peut plus lâcher. »Livres Hebdo
« Une grande traversée du XXe siècle qu'on dévore avec passion. Un vrai roman pour nous faire oublier le blues de la rentrée ! »Page
« Guenassia se révèle un formidable narrateur... Un roman captivant. Un coup de coeur. »lepoint.fr
« On savoure le talent de ce Goncourt des lycéens 2009. »Télé 7 Jours
« Un « page turner » palpitant, généreux, humaniste. A faire pâlir de jalousie les écrivains américains. »Les Echos
« Cinq cent pages tenues, poignantes, vibrantes. On retrouve Guenassia au meilleur de sa forme... Une éclatante réussite qui traverse avec panache un XXe siècle mouvementé. »Lire
« L'écrivain confirme la puissance de son talent épique. Captivant en diable. »L'Humanité
« A quoi reconnait-on un bon roman ? A ce souffle, porté par une écriture fluide, poussant le lecteur à avaler les paragraphes. A cet attachement immédiat pour les personnages, spectateurs plus qu'acteurs de la marche du monde. 500 pages qui vous emportent. »Pèlerin
« Un roman foisonnant qui nous invite à traverser les tumultes du XXe siècle. Un auteur qui a décidemment bien du talent. »Version femina
« Un incontestable talent de conteur, un authentique sens de l'épopée. »Le Nouvel Observateur
« Un roman dont l'habileté, heureusement, ne masque ni la sincérité ni l'originalité... beaucoup mieux que le livre à succès qu'il sera sans doute. »Marianne