« Les Du-Vrê vivaient dans une sorte de déséquilibre équilibré. Il était drôle et léger, pour eux comme pour les autres, et personne ne pensait que cela pourrait (ou devrait) changer. Ils avaient été heureux jusqu'à présent. Oui, au fond, on peut dire qu'il s'aimaient bien.
Jusqu'au jour où Michel se lassa de Beaule, où il vit qu'il n'était pas normal que sa femme et sa propre fille passent leur temps à essayer de s'entretuer, et où il comprit finalement que ce déséquilbre n'était plus équilibré. Au contraire. »
Cléo Le-Tan