« L’un des djihadistes saisit le prisonnier par les cheveux, lui tira la tête en arrière pour dégager son cou. De l’autre main armée d’un long poignard, il lui trancha la gorge d’une oreille à l’autre. Un double geyser de sang jaillit des carotides, inondant le burnous blanc. »
Et voilà dans leurs œuvres les hommes que je traque ! Pas en Syrie, pas en Irak, à Paris même. Il ne me reste que quelques heures pour les empêcher d’exécuter un nouvel otage. Or, le prochain sur la liste n’est autre que… non : je n’ai pas le cœur à dévoiler son nom au dos de ce bouquin !
Mais rassure-toi, on est dans un San-Antonio, alors on va bien se marrer quand même avec Béru, Pinuche et toute l’irrésistible armada.