« Il ne laisse jamais aucune trace derrière lui, ni empreinte digitale ni marque génétique. Détail important : il rase le pubis de ses victimes et adresse les poils collectés à des destinataires choisies au hasard. C’est très simple, San-Antonio, je veux que vous partiez immédiatement pour Montréal avec votre homme le plus sûr et que vous mettiez la main sur ce serial killer avant les autorités québécoises ! » T’aurais fait quoi, toi, si le Président en personne t’avait chargé d’une telle mission ? Tu serais allé te les geler dans le grand nord. C’est exactement qu’on a fait, Béru et moi !