De retour dans son île, le narrateur retrouve pour la dernière fois le "Café de l'Empire" que sa mère vient de vendre. C'est alors que naît un flot de souvenirs, d'images. La journée qui est celle de la fermeture de "l'Empire" contient plusieurs destins. Le passé et le présent alternent, donnant à voir une humanité sans grandeur, mais non sans folie. Et surtout il y a la mère, dans sa vieillesse solitaire, de qui le fils prend congé sans soupçonner qu'avec ceux que l'on aime le banal au revoir, c'est parfois un adieu.
--Ce texte fait référence à l'édition Broché.