À l’aube de sa mort en 1949, Marguerite Gachet se souvient de ses dix-neuf ans et du moment où sa vie a basculé.
Auvers-sur-Oise, juin 1890. Son père, le docteur Gachet, ouvre sa maison à un artiste néerlandais sans le sou, en proie à des crises terrassantes : Vincent Van Gogh. Gachet n’est ni un grand médecin ni un amateur d’art : il collectionne tout ce que lui proposent ses « amis » peintres, en échange de consultations. La rencontre de Marguerite et de Vincent sera fulgurante, passionnée, fatale.
Jean-Michel Guenassia trouve des réponses insoupçonnées aux questions soulevées dans la biographie de l’artiste ces dernières années. Une version stupéfiante des ultimes jours de Van Gogh avec la puissance romanesque qu'on connaît à l’auteur depuis Le Club des incorrigibles optimistes.
Une fiction dramatique des plus entraînantes, dotée d’une chute digne de ce nom. Captivant. Beaux-Arts magazine.
Un roman documenté qui se lit comme un thriller. Les Échos.