Un père et un fils n’échangeaient guère. Vient un été où ils divorcent ensemble. Le fils de sa première femme. Le père de la mère du fils. Alors le père et le fils ne vont plus arrêter de parler d’amour.
E. O.
De Bréhat à Cuba, voici l’histoire d’une famille, et surtout de deux hommes. Deux « éclopés de la conjugalité », soudés par leurs échecs amoureux. Au fil de leurs discussions, ils remontent jusqu’à l’aïeul qui, par son existence extrêmement romanesque il y a cent cinquante ans, aurait initié la malédiction familiale et leur aurait transmis le gène des amours impossibles
Avec sa malice habituelle, Erik Orsenna tisse un récit qui cavale, pétarade, ébouriffe. Un enchantement. Thierry Gandillot, Les Échos.
Erik Orsenna parle comme personne des mystères, des brouillons et des fragilités de l’amour. Pierre Vavasseur, Le Parisien.
Ici règne le plaisir de la fiction, qui console et sauve la paix des familles. François-Guillaume Lorrain, Le Point.