Au début, il y a cette fille, Lili, rencontrée sur Facebook. Ça commence par « vous connaissez peut-être », on clique sur la photo du profil et un jour on se retrouve chez les flics.
J’ai aussi pris un chien, et j’essaie de lui apprendre à ne pas tuer mes chats. Tant que je n’aurai pas résolu le problème du chien et le mystère de la fille, je ne tournerai pas en rond. Ça va durer six mois.
Ce roman fait suite à Comment tu parles de ton père. On y trouve quelques portraits de femmes, et un portrait de chien. C’est une enquête. Tout est vrai sinon ce n’est pas drôle.
Un engrenage que Sfar nous raconte à sa manière : avec son sens de la formule qui fait boom, et sa sincérité. Mohammed Aïssaoui, Le Figaro littéraire.
Un « roman » qui nous parle finalement de la force terrifiante des images, à l’heure de Facebook, qui portent des promesses plus grandes que nous. Philippe-Jean Catinchi, Le Monde.
Joann Sfar poursuit l’histoire de son éducation sentimentale. Mordant. Florence Besson, Elle.