Fin des années 1960. Rock et pattes d’eph, la jeunesse de Beyrouth baigne au soleil et dans l’insouciance. Ce sont les derniers jours de l’âge d’or du Liban, mais personne ne le sait encore.
Georgina a quatorze ans, de nombreux prétendants et un rêve : devenir une star.
De son côté, Ali Hassan, Palestinien exilé, s’apprête à prendre les armes pour libérer sa terre natale…
En retraçant les destinées d’une reine de beauté chrétienne, idole chérie d’un peuple enfantin, et d’un chef de guerre musulman recherché de tous et surtout du Mossad, Diane Mazloum nous emporte au cœur de la poudrière du Moyen-Orient.
L’Âge d’or est l’histoire d’un amour, d’une famille, d’un pays où Orient et Occident ne faisaient qu’un. L’histoire de ce moment où l’on comprend que les choses basculent, et que rien ne sera jamais plus comme avant.
Un récit empreint d’une mélancolie discrète, étrangement incisive et énergique.
Nathalie Crom, Télérama.
Un texte élégant, en spirale. Eglal Errera, Le Monde des livres.
L’Âge d’or est une fresque, un formidable précis de décomposition. Marie-Françoise Leclère, Le Point.
Prix France-Liban 2018.