« L’absence d’Albert s’est transformée en un état de manque insupportable. Je ne peux pas vivre sans Albert. Je ne suis plus qu’une coquille vide. »
Pourquoi, après vingt-cinq ans de cohabitation, l'esprit qui hante Chloé l'a-t-il soudain quittée pour sauter dans la tête d'un garçon de café, Zac, apiculteur à la dérive qui ne croit en rien ? La situation est totalement invivable, pour elle comme pour lui, d'autant que cet esprit qui s'est mis à le bombarder d'informations capitales et pressantes n'est autre qu'Albert Einstein...
Dans une comédie romantique où la spiritualité s'attaque aux enjeux planétaires, Didier van Cauwelaert invente avec bonheur une nouvelle forme de triangle amoureux.
Un roman charmant en diable, où le sourire d’Albert Einstein poursuit sans relâche le lecteur pour l’inciter à repenser sont rapport à l’autre et au monde. Point de vue.
L’art de parler avec légèreté des choses graves. La Provence.
Didier van Cauwelaert ne cesse de nous surprendre. Le Parisien Dimanche.