« Tout était dévasté, consumé, calciné. C’est de cet enfer qu’allait renaître le Paradis. »
1577. Le palais des Doges est en flammes et, avec lui, la fresque du Paradis. Le doge annonce l’ouverture d’un concours pour la remplacer. Dans le décor spectaculaire de la Venise renaissante, l’immense toile devient un personnage vivant, opposant le génie de Véronèse, du Tintoret et des plus grands maîtres de la ville. Entre rivalités artistiques, trahisons familiales, déchirements politiques, Clélia Renucci fait revivre dans ce premier roman le prodige de la création, ses vertiges et ses drames.
D’une plume fluide et érudite, Clélia Renucci raconte les guerres intestines et l’élaboration de l’ouvrage magistral. Passionnant. Avantages.
Une maturité impressionnante. Le Parisien week-end.
Un vrai roman d’aventures. Paris Match.
Un style vif et coloré. Marie France.
Prix du premier roman. Prix grands destins du Parisien week-end.