Marie Billetdoux (qui a repris le prénom souhaité par son père à sa naissance) raconte Raphaële Billetdoux. Elle nous révèle être devenue écrivain par la volonté d’une femme de l’ombre, sa mère, une « enchanteresse », orgueilleuse, asociale, grande séductrice par le verbe. Lorsque, douze ans après le succès de Mes nuits sont plus belles que vos jours et une maternité, Raphaële prend peu à peu conscience de cette dépendance anormale depuis son premier roman publié à dix-neuf ans, elle ne sait pas qu’elle entame un combat à la vie à la mort.
Femme prenant plaisir à ses fureurs est l’épopée de ce long réveil, et l’illustration de plusieurs formes de folies au sein d’une même famille d’artistes entre Montmartre et Montparnasse des années 1940 à nos jours.
Marie Billetdoux raconte la relation explosive et intense qui l'unit à sa mère. Un livre passionnant. Alexandre Fillon, Lire.
Une tragédie grecque moderne en prose et en larmes. Jérôme Garcin, L’Obs.