« J’ai perdu le 1er avril ma fille unique et le 20 juin, ma mère unique. »
Ce livre bouleversant raconte un double deuil : Benoîte Groult, la mère de Blandine de Caunes, s’est éteinte en juin 2016, à quatre-vingt-seize ans, écrivaine comblée, porteuse de combats remportés. Deux mois auparavant, c’est sa fille, Violette, qui mourait à trente-six ans dans un accident de voiture.
De ce vécu douloureux l’auteure a fait naître un récit poignant et pourtant non dénué d’humour, qui rassemble et réconcilie trois générations de femmes partageant le même amour forcené pour la vie, la vie toujours plus forte – le credo de Benoîte transmis à Blandine.
C’est émouvant, violent parfois, et, dans sa simplicité de ton, d’une puissance assez rare. Le Point.
Un livre terrible mais infusé d’une énergie peu commune. Elle.
Un chant à la force des liens qui nous unissent. L’Humanité.