« La folie n’est pas donnée à tout le monde. Pourtant j’avais essayé de toutes mes forces. »
Elle ne pleure jamais au bon moment, ressasse pendant des heures son mépris pour Bambi, et seule sa peur des requins lui prouve qu’elle a bien un cœur. Rien de grave en apparence. Jusqu’au jour où l’internement forcé de sa sœur en hôpital psychiatrique réveille les questions enfouies sur la mort de leur mère.
Par l’entremise de ce texte enchanté, Mathilde Forget fait une entrée remarquée en littérature. Isabelle Spaak, Le Figaro littéraire.
Une plume douce-amère, aussi incisive que judicieusement concise. Laëtitia Favro, Le Journal du dimanche.
Un douloureux livre du deuil, et de la peur de la folie, déguisé en amusant précis d’inadéquation au monde. Raphaëlle Leyris, Le Monde des livres