Louise hérite d’une maison de famille qu’elle ne peut pas garder. Ici, elle a ri, joué, aimé, plongé : ses rêves inscrits à même la peau, le sel de la mer les a transformés en peines, en sourires et en larmes. Nous confondons-nous avec nos souvenirs ? Est-ce si grave de vivre moins bien que ses parents ?
Un roman-vrai où l’impermanence des choses et le déclassement nous atteignent au coeur.