La langue française a parfois des ambiguïtés comiques. On dit de la mort qu'on la " trouve ", alors qu'on ne la cherche pas. Et qu'on perd ceux qui la trouvent...
C'est le cas de l'auteur, dont le père vient de mourir. De sous ses pins parasols, le défunt laisse des souvenirs inoubliables – et un grand gouffre au cœur. Carnet de deuil, hommage et lettre d'amour, ces quelques pages rembobinent la pellicule super-huit – pour rire, pour pleurer, pour chanter et crier encore et toujours : " Papa "...
" De la tension née de ces journées particulières surgissent des tableaux qui, sans rien nier du chagrin, raviront ceux qui ont un faible pour l'humour noir. "
Le Figaro littéraire
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