Une bonne pâte, ce Roman. Une bonne tête. Un peu mou, mais honnête, comme le bon pain. Pas étonnant qu'il déniche ce boulot idéal : garçon de cabine dans le Paris-Venise – train-couchettes. De quoi redonner le sourire à Mlle Pajot, sa banquière. Et à lui le goût du voyage. Car il s'en passe, la nuit, dans ce monde en perpétuel mouvement : les objets perdus qu'on empoche, les clandestins qu'on planque moyennant finances, les combines en loucedé... C'est qu'il en faut, de l'argent, quand on est amoureux et qu'on roule vers Venise. Et Roman est amoureux...
" L'écriture dans le sang et la vanne au bord des lèvres. " Sophie Delassein – L'Obs
" Il devient ardu de savoir quoi acheter en librairie pour lire tout en riant à gorge déployée. Florent Oiseau pourrait bien être la solution. " Nicolas Ungemuth – Le Figaro Magazine
" L'humour le dispute à l'ironie au gré de chaque voyage. "
L'Express