Les sept péchés capitaux, ce n'est pas seulement de la théologie, c'est aussi de la littérature. Il fallait Cécile Curiol, l'autrice de
L'Ardeur des pierres, pour nous raconter l'indolence et la langueur de l'âme.
"Elle pensa soudain à Melville, et à ce que l'écrivain américain avait voulu signifier par sa célèbre formule : "I would prefer not to'.
Contrairement à ce que beaucoup avaient cru, son héros Bartleby n'était peut-être pas la figure d'une "résistance passive', d'un "en puissance' dépourvu d'agir, mais bien celle d'un malencontreux paresseux !'