La vie et la mort d'un groupe punk qui tutoie les étoiles et se consumera avec le monde qui l'a vu naître.
Paris, 7 juin 1977. Tristan Lavarini a 13 ans, il assiste à son premier concert rock.
Londres, 9 décembre 2015. Tristan sort définitivement de scène.
Quatre décennies séparent ces deux dates, ponctuées de batailles et d'excès en tout genre, de tournées minables ou glorieuses, de disques, qui conduisent La Monstrueuse Parade, leur groupe à tous les quatre –; Tristan, Jérémy, Charles et Franck –;, aux portes du succès, dans le sale business de la musique que la technologie transforme en profondeur. Une épopée dont Tristan est le héros. Et le salaud.
Porté par une écriture qui bat au rythme de la bande-son, Toutes les planètes que nous croisons sont mortes est une plongée dans le monde disparu du rock indépendant, dont les artistes mythiques font résonner la voix aujourd'hui encore. Et pour toujours.