Mon très cher Didier, quand vous écouterez cette cassette, je ne serai sans doute plus de ce monde. Ceux qui me traquent vont bientôt me débusquer et il me reste trop peu de temps pour relater les derniers événements qui m’ont conduit au seuil de la mort… Les tueurs sont sur ma piste depuis bien longtemps… Depuis Jérusalem, certainement.
Abandonnez notre quête ! Je vous en conjure ; fermez tous vos livres, brûlez-les et soufflez leurs cendres au vent ! Oubliez tout ce que je vous ai dit au sujet du Christ. OUBLIEZ !
[…] Je vous supplie de détruire cette bande magnétique quand vous l’aurez écoutée. Je vous prie de ne parler de rien de tout cela à personne. Au nom de notre serment de franc-maçon, obéissez-moi, mon frère !
[…] Adieu, mon très cher Didier.
Votre ami qui s’est perdu,
Francis D. C.