Londres, 1955 est le dernier texte publié par Henri Thomas, juste avant sa mort. C’est en même temps une évocation mélancolique de la solitude de celui qui, même dans “l’attente de la fin”, “ne renonce jamais … à écrire”, et une manière pour l’auteur d’inviter à une approche nouvelle de l’un de ses plus beaux romans, La nuit de Londres, écrit en même temps et publié en 1956.