Ces pages sont celles d’un Fargue déjà malade qui remplace les promenades entre la rue de l’Odéon et la brasserie Lipp par des déambulations dans le temps et les souvenirs. Elles révèlent le mondain impénitent et brillant causeur qui évoque l’atelier de Rodin où Rilke commence à «respirer douloureusement sa destinée de grand poète».