Ce livre dangereux, je l’ai écrit comme une aubade et j’ai reçu en retour ce que je méritais : une bonne raclée. Depuis le temps que j’en rêvais ! Lettres d’insultes, critiques violentes, haines extraordinaires ont accueilli ce joli roman d’amour qui parle de Dieu, du 11 Septembre, de François Mitterrand, de Wagner et de Charles Péguy. Bref, je l’ai écrit comme doivent s’écrire tous les livres dangereux et haïs : dans le plaisir et l’insouciance, dans le bonheur et la vitesse. Et avec enfance. Bref, tout ce que l’adulte ne peut pas supporter.