Depuis son divorce, Justine court après la vie dans un Paris qu’elle ne reconnaît plus. Tout se chevauche et se bouscule : son travail en perdition, ses amours inexistantes, ses inquiétudes de mère. Mais le jour où elle découvre une rose rouge sur la tombe familiale, Justine va devoir questionner son passé, et peut-être ainsi démêler toute la pelote de son bonheur.
Julie Printzac est traductrice et éditrice. La Solitude des femmes qui courent est son premier roman.