« Je suis un libéral qui a toujours admiré le monde financier et ses opérateurs. Je n'aurais pas, sinon, choisi de couvrir pour Le Monde depuis 25 ans l'univers de Wall Street et de la City.
Mais depuis la crise, je suis un libéral qui doute, un déçu du capitalisme, un angoissé de l'avenir. J'ai cherché à comprendre les racines profondes de cette transformation personnelle. Ce carnet de route sans complaisance est à la fois un voyage intérieur et une enquête sur un monde très fermé, celui des Banksters, dominé par l'opacité et... l'impunité.
Car tout a changé le 15 septembre 2008. »