L’histoire vraie que vous allez lire est la plus étrange qui puisse arriver à un romancier, comme si la réalité avait décidé de l’inviter dans ce que d’habitude il invente.
Karine a vingt et un ans. C’est une jeune fille d’aujourd’hui qui [...] s’apprête à partir en vacances [...]. Un accident de voiture en décide autrement.
Ses parents, qui pensent que tout s’arrête après la mort physique, sont brisés par le drame. Jusqu’au jour où ils commencent à recevoir des messages... Du magnétophone à l’ordinateur, de l’écriture automatique à la matérialisation supposée de son image devant des dizaines de témoins, Karine Dray semble utiliser tous les moyens à sa portée pour continuer de faire entendre sa voix [...].
Cette histoire ne prétend rien prouver. Mais, qu’on soit ou non sceptique comme je l’étais, elle invite à s’interroger de manière très troublante sur la survie de l’esprit, la puissance des hallucinations collectives, ou l’incroyable pouvoir du cerveau humain.