Dans la lignée du Livre sans nom, des films de Quentin Tarantino et de Park Chan-wook, un thriller inclassable et jubilatoire.
Tokyo, 2010.
Une garagiste, jeune, jolie, très désagréable.
Son père, ancien Béret Vert, à peine plus aimable.
Une valise diplomatique débordant de billets.
Un assassin américain lancé dans un safari humain.
Des yakuzas dépassés.
Du béton, de l'électricité, des armes et du sang.
De la musique, du cinéma.
Et un professeur de la Sorbonne chargé de voler une bouteille de saké appartenant à Quentin Tarantino.
Secouez le tout.
Servez dans un bar de quinze mètres carrés.
Ce cocktail explosif, signé par le traducteur du Livre sans nom, nous emporte dans un voyage ébouriffant au pays du Soleil-Levant. Fourmillant de références aux films de genre et à la culture pop, d'une énergie et d'un humour évoquant les œuvres de Tarantino, Gōkan dynamite le thriller avec une jubilation contagieuse.
Gokan a reçu le Prix du Premier Roman décerné par le Rotary Club de Paris.