Aussi dures et impitoyables les lois du milieu soient-elles, il est une règle tacite qu'il convient d'honorer : pas touche aux mamans. Ainsi quand à l'heure du déjeuner, San-Antonio retrouve le jardinier assommé, le pavillon désert et la blanquette brûlée, son sang ne fait qu'un tour. Félicie ! Félicie disparue ! Que des messieurs louches veuillent récupérer des documents ultraconfidentiels, c'est leur droit. Mais qu'ils enlèvent pour ce faire les mamans des gens, alors là, fallait pas le chercher, ça va saigner... Et c'est comme ça !
SAN-ANTONIO ANNÉES 60
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